C'est toujours la même chose ! Quand on projette un truc, on tient une fois peut-être deux, puis ça s'estompe, et l'oubli reprend le-dessus.
Je n'ai plus le temps d'avoir une vie divertissante en ce moment. Plus (pas) de cinéma, peu d'écriture. Voilà pourquoi mes projets de "critiques" ont vite été remplacé par mes sordides désirs de pseudo-confessions. Je suis mon propre cinéma, toujours le même, celui qui est délaissé car trop lent, trop incompréhensible, inintéressant au final. Mais ce genre existera toujours car quelques irréductibles aiment à déchiffrer ou à louer le faux-bizarre, l'excentrisme centré ; alors j'en profite en esquivant une remise en question ou le bouleversement qu'il faudrait.
Enfin, parfois j'essaie encore sur du vrai, du concret et le dernier film découvert (carré blanc) date de la semaine dernière mais c'est au niveau de l'écriture que ça coince. Là c'est beaucoup plus dur d'assurer, d'autant plus que ça ne me branche plus vraiment.
Bref, impossible de faire de l'or avec de la moutarde, ça ne prendra jamais, comme avec moi.