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6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 21:07

Les évènements s'enchaînent, tracés par cette surprenante fatalité.

Combien de fois ai-je écrit ce genre de phrases puériles ?

Je suis fatiguée ce soir et n'arrive pas à écrire. D'ailleurs ce n'est pas un cas isolé en ce début d'année.

Une putain de semaine s'annonce, et peu de plaisirs parfaits à l'horizon.

Il est impératif que l'on se trouve un appartement car l'heure est critique.

Les engueulades quotidiennes deviennent réellement pesantes et l'envie de changer de boulot sérieusement pressante.

L'Envie m'a quittée cet après-midi et l'idée de continuer à gémir tous les jours me "donne la nausée".

 

Allez assez de jérémiades pour ce soir.

Vivement les bras récomforteurs.

En espérant sincèrement que cette mésaventure m'a enfin débloquée... Remarque il me suffira de repenser à la peur qui m'a assaillie sur le moment. Une repétrification à laquelle je ne m'attendais pas.

De toute façon, il faut absolument que je fasse un effort sur mon comportement d'indécise, que je stoppe ces déplorables manies de paresseuses.

Bouge-toi le cul ma vieille sinon t'auras de quoi pleurer pour de bon !  

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5 février 2011 6 05 /02 /février /2011 17:41

Ne plus tirer les cartes avant d'aller travailler, déjà que la motivation manque, je ne vais pas rajouter la mauvaise humeur ou la peur...

En effet j'ai eu la mauvaise idée de tirer les cartes pour me rassurer suite à un fâcheux incident, de ma faute en plus, hier.

Bien entendu la rupture annoncée par le résultat du tirage ne m'a pas tranquilisée, au contraire. Je vais donc aller bosser avec cette putain d'idée en tête.

Fini cette stupide habitude.

Ce dernier "coup" m'a bien calmé !

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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 21:58

Non contente d'avoir déjà un boulot que je déteste, j'ai réussi à me mettre un autre "collaborateur" à dos. Espérons que demain monsieur soit de meilleur humeur et m'oublie.

Je ne veux plus être le bouc émissaire de ces imbéciles à la grosse tête qui se croient tout permis. Hors de question d'abandonner encore à cause de l'un d'eux. Leur pathétique et minuscule pouvoir qui leur monte à la tête, les pousse à adopter des attitudes de bac à sable primitives.

Mais comment surmonter le harcèlement moral, si certain arrive même à renoncer à leur vie entière à cause de cette raison ?

Une nouvelle épreuve à surmonter.

Demain je saurais si j'ai assez mûri et suis enfin capable de passer outre ce genre de gamineries.

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28 janvier 2011 5 28 /01 /janvier /2011 21:01

En cette période de doutes, de remises en question diverses, le moral va et vient  comme pourrait l'être un électrocardiogramme, comme celui de décembre 2009 par exemple. Cette faculté de changer radicalement de direction d'un moment à l'autre me fait un peu peur parfois. Non je ne suis pas bipolaire, ni dépressive. Je suis complètement perdue en fait. L'habituelle fille paumée. Fidèle à elle-même.

Pourtant j'écris, décris et je sens que déjà je regrette cet état disparu car tout va mieux et aucunes excuses à l'horizon. N'est-ce qu'un alibi à cette passivité, cet ennui constant ou encore à cette fainéantise souvent mentionnée ?Suis-je tellement si désintéressée par tout que j'en viens à songer parfois à tout plaquer ? N'est-ce qu'une illusion de plus que l'espoir qu'ailleurs sera différent ? Et d'abord que changerais-je ? Je ne pourrai jamais effacer les erreurs ou les souvenirs. Cette fatalité non-digérée ne fait qu'accentuer mon malaise.

Cependant, un malaise n'est jamais très grave et on se relève généralement sans avoir embrassé violemment le sol.

Voilà pourquoi je suis si destabilisée. Mes tristes démons resurgissent sans prévenir régulièrement depuis quelques temps mais ne restent pas assez longtemps pour que je puisse avoir une réelle justification.

Ce manque de motivation que l'on m'a reproché de tous temps gâche ma vie constamment. Alors que pour une fois la vie me récompense merveilleusement de m'être accrochée, j'hésite, me plains sans cesse et refuse de me focaliser sur ces bons côtés.

Bref ce ramassis de conneries m'a en plus gonflé.

J'étais partie pour parler d'autres choses que de moi et encore une fois, arrivée devant cette page de gris dégradé, je n'ai pu me sentir suffisament bien pour que les quelques problèmes qui m'angoissent et me rongent, ne viennent intervenir sur ce dont je désirais expérimenter.

Reportons encore et toujours les choses qui auraient pu avoir un quelconque intérêt...

 

 

 

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25 janvier 2011 2 25 /01 /janvier /2011 10:56

Ennui mortel à certain moment, d'où l'absence de motivation pour le travail.

Pourtant je n'ai pas tant à me plaindre car au minimum d'une fois par semaine, je peux dire que la monotonie est brisée par des plaisirs si attrayants qu'ils me font oublier ma carence sociale.

Par bonheur l'amour a frappé mon coeur. Mais le paradoxe demeure et cet enchantement me rappelle que ma vie à côté est fade, triste, éteinte et promise à une lente et solitaire agonie.

 

Bien que mon chat soit confortablement enraciné sur mes genoux, me prodiguant la "tendresse" (et oui je suis réconciliée avec ce mot que je ne supportais pas quelques années plus tôt ;)) désirée, de sinistres pensées ne pouvaient s'empêcher de pénétrer constamment mon esprit.

Alors je recherchais ardemment à remplir mon "agenda" d'activités, mais toujours sans nouveaux acolytes.

D'ailleurs, j'ai un peu réfléchis sur ma vie et me suis dit que si il ne voulait plus de moi cette année, je partirai, encore. J'avais sincèrement voulu resté ici car je pensais que je pourrai un jour m'adapter, construire quelque chose (sur un plan social), être "adoptée". Hélas, les gens de cette ville sont bien trop bruts, "rentre-dedans", nombrilistes pour qu'ils puissent un jour s'intéresser à une fragile personne effacée telle que moi.

Cependant, ils ont raison. C'est à moi de faire les efforts pour m'intégrer mais je n'y arrive pas et ma tendance à tout abandonner pour pleurer sur mon sort revient sans cesse.

 

J'écris tout ceci à cet instant sans pour autant être déprimée. Au contraire, j'étais en train de chercher des festivals et comme d'habitude la programmation du jdm semble intéressante. D'ailleurs je pense que cette année ça sera ma soeur qui m'y accompagnera... Pour les autres par contre, rien d'alléchant en perspective. Mais toutes les programmations ne sont pas encore fixées ! Croisons les doigts pour que le solidays ou les vieilles charrues soient à la hauteur de mes espérances...

En attendant, les ogres de barback sont confirmés, dans ma liste des groupes à voir, pour cette année...

Dans la joie et la bonne humeur, une petite chanson dont les paroles m'ont souvent touchées, mais qui semblent lointaines à présent. 

 

 

 

 

 

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23 janvier 2011 7 23 /01 /janvier /2011 20:35

J'aimerai briser un miroir à cet instant précis, ou le cacher tout du moins. Il faut impérativement que je me mette au régime dès la semaine prochaine. Enfin ça ne sera pas véritablement un régime à proprement parler, on pourra plus qualifier ça de désintoxification.

Je ne me supporte plus en ce moment. Entre le chocolat omniprésent "grâce" à ma soeur, les frites tous les jours au travail, bref la surchage de nourriture en général, j'enfle à vue d'oeil et je déteste ça.

Je veux être irréprochable (au moins sur les choses que je peux changer). Aucune envie de (re)-devenir grosse tout ça parce que je suis en couple. C'est quasiment lui donner la permission d'aller voir ailleurs.

Allez  j'ai envie de faire ma Céline Dion, genre "pour lui je me motiverai". Non en fait c'est également pour moi.

Il faut trouver l'équilibre ou le juste milieu dans la vie entre se plaire et "lui" plaire.

Cependant ici c'est la même vision des choses donc pas de problèmes mis à part mon manque de rigueur.

 

Désolé pour cette parenthèse ridicule sur ce sujet inintéressant...

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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 11:38

Presque une semaine s'est écoulée depuis l'annonce des résultats. Je ne suis pas séropositive. A vrai dire je ne croyais pas l'être mais la peur réussit toujours à s'immiscer dans les pensées.

Dans ce cas, plusieurs réactions possibles, plusieurs états auxquels j'ai vaguement songé.

Comment l'annoncer ? D'ailleurs comment trouve-t-on le courage de l'annoncer ? N'est-il pas plus facile de se dégonfler ? Seulement comment s'arranger avec sa conscience ?

Bref, des tas de questions restent dans l'abstrait, dans l'attente d'un résultat qui n'amène pas à ce genre de questions justement. Et bien que j'étais persuadée de n'avoir pas à réfléchir réellement à ce genre d'interrogations, ma sérénité dans la salle d'attente n'etait pas sincère, en plus je ne pouvais m'empêcher de regarder les autres anonymes à qui la vie allait peut-être basculer vers le néant. Ce No-futur non voulu, irrémédiable, qu'il devrait affronter.

La vie peut recommencer sereinement, je laisse malheureusement ces épreuves à d'autres.

Difficile malfé tout de se dire que sa vie peut s'écrouler à tout moment. Les rêves se noient, les certitudes deviennent des envies, et l'envie, une torture quotidienne.

Bref, même si par moment on déteste intensément la vie, on ne peut s'empêcher de s'extasier parfois sur sa beauté quand on a la chance que sa fragilité n'en soit l'aspect principal que pour les autres.

 

Bon je retourne à mes anciennes préoccupations d'avenir du coup... D'ailleurs je pense avoir trouvé où j'allais m'inscrire pour la rentrée.

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20 janvier 2011 4 20 /01 /janvier /2011 16:01

Non la vie n'est pas un long fleuve tranquille, je dirai plutôt que c'est une sorte de cercle vicieux. Toujours les mêmes éléments qui tournent, s'entremêlent, disparaissent pour mieux réapparaitre sous une autre forme ou non.

Tellement de métaphores pourraient décrire ce phénomène; on pourrait facilement par exemple employer la mer avec ses vagues, à qui l'on croit échapper alors que de plus grosses se forment juste derrière. Mais un fleuve, non je n'arrive franchement pas à concevoir le truc.

Bref, la vie est pleine de surprises. Celle d'hier a été non seulement stupéfiante, mais aussi décevante et écoeurante.

L'appel que j'attends ce soir va être difficile. Je vais devoir couper les ponts définitivement avec Laurent. Monsieur a décidé de repartir dans sa litanie, sauf que cette fois je ne me laisserai plus faire ou embobiner. Je n'ai plus envie d'entendre ses "je t'aime", "je n'arrive pas à sortir avec d'autres", "je pense sans arrêt à toi", etc... Le pire c'est qu'il a failli se repointer ici !

Bien heureusement le seul neurone qui lui reste lui a permi de se dire que je ne voulais pas forcément le voir, ce qui est vrai. Ce n'est pas parce que je voulais avoir de ses nouvelles de TEMPS EN TEMPS, que je vais accepter qu'il me saoule au téléphone toutes les semaines, à me laisser des messages pathétiques qui ont pour finalité de m'énerver plus que de m'attendrir et de me devoir de couper rapidement tout contact avec lui. Je ne veux certainement plus subir son cinéma et ses stupides tentatives de suicide de l'année dernière. Ce soir achèvera radicalement cette putain d'histoire.

J'ai tant d'autres soucis en tête, je me suis tant rongé les ongles à sang à cause de lui quand on était ensemble, puis autant après nos ruptures que c'est impensable d'imaginer que ça puisse recommencer. J'aime quelqu'un d'autre, et même tellement que c'est déjà assez d'émotions pour mon pauvre petit coeur ! Laurent fait partie de mon passé et je ne veux plus me soucier que du futur. Bon maintenant comment lui dire sans larmes de sa part que moi j'en ai plus rien à foutre de lui ?

 

 

 

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17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 09:30

Début d'une nouvelle semaine, fin du weekend Le lundi, même souvent rechigné, est rarement un jour anodin comme pourrait l'être un jeudi matin.

Cette petite introduction m'amène à faire un bilan de mon weekend.

Exit ninkasi, cinéma ou autre sortie shopping, le fait marquant aura été ce salon de l'étudiant où ma soeur m'a traîné presque indépendamment de ma volonté.  Certes, j'ai pu y récupérer des brochures intéressantes sur ma probable future formation mais cette petite excursion m'a fait prendre conscience de la proche fin du DAEU, de l'aléatoire.

Bientôt je devrai me décider définitivement pour la suite de ma reconversion.

 

Il est temps de partir travailler. Je n'aurai pas encore pu vous raconter la rencontre entre mon chéri, Tigrou et ma soeur et toutes les interrogations qui en découlent, ou mon soulagement face à un résultat qui pourtant semblait logique.

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14 janvier 2011 5 14 /01 /janvier /2011 21:22

Me voilà rassurée, sereine et effrayée.

L'amour a de nouveau frappé mon coeur, mon âme, ma raison et impossible de changer le cours des choses . L'idée est belle et bien ancrée. Je me suis jetée à l'eau (quoique, pas la pemière).

Je voulais commencer cette page ainsi : heureuse car amoureuse mais anxieuse; alors qu'en fait je ne suis pas si hésitante ou angoissée. 

Je l'aime et c'est réciproque. Où est donc le problème ? A vrai dire, on dirait qu'il n'y en a pas mais qui peut prétendre à l'absence d'ombre quand il existe une telle animosité entre nos deux deux corps, entre nous même.

Pourtant malgré mon scepticisme et ma réserve habituelle qui me ferait craindre l'avenir car oui, rien n'est jamais sûr ou acquis, l'amour se cultive tous les jours, je n'ai pas peur. Pour l'instant j'ai juste envie de profiter de ce bonheur inespéré car à force de craindre toujours le futur, on oublie de vivre le moment présent et ensuite on regrette le passé.

Or je refuse de me tourmenter comme avant sur des suppositions infondées, je ne veux plus me méfier chaque jour de  celle avec qui il pourrait me quitter.

Je me prépare donc à jouir pleinement de cette relation qui je pense a le potentiel d'aller très loin...

 

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  • : Quand la mémoire se fait rare, autant inscrire tous les souvenirs ailleurs avant qu'ils ne s'évaporent à jamais...
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